L’action du Collectif du Pic du Midi peut paraître dérisoire ou naïve aux yeux de certains. Nous ne pouvons que constater que le comportement des exploitants du site vis à vis des randonneurs et alpinistes a quelque peu terni l’image de ce pôle touristique bigourdan.
Site Web des Editions SUA (Bilbao):
El 2 de agosto de 2000 se creaba el Colectivo Pic du Midi promovido por una veintena de asociaciones que se reunieron en Tarbes para defender el libre acceso de los montañeros al Pico de Midi de Bigorre. Los responsables de la estación turística y científica instalada en la cima, aprovechando su reinauguración hace dos veranos habían prohibido el acceso de los montañeros a la cumbre. El 10 de septiembre de 2000 el colectivo reunía a 400 aficionados en la cima para reivindicar el acceso libre al pico y a las terrazas del complejo. La presión consiguió rebajar la prohibición y llega la propuesta de una tarifa obligatoria de 100 francos (15 euros) para alcanzar la cima, incluyendo la visita del museo y el teleférico de bajada, aunque no se hiciera uso de estos servicios. De este modo, el Pic de Midi se convertía en la única montaña de Europa en la que debía pagarse un peaje por visitarla. El comienzo de la temporada del pasado verano flexibilizó las posturas de los gestores de las instalaciones permitiendo el paso a los montañeros hasta una de las terrazas secundarias, así como a la terraza principal en horas de menor afluencia de visitantes. A partir de noviembre, temporada baja, es posible acceder a cualquier hora a la terraza principal desde donde se contempla una impresionante panorámica pirenaica. A pesar de estos avances, el Colectivo Pic du Midi recuerda que quedan por resolver algunos asuntos que siguen haciendo de esta montaña fuente de discusión entre montañeros y administración.
Source de conflits 21/11/2001
Le 2 août 2000 on créait le Pic Collectif du Midi promu par une vingtaine d'associations qui se sont réuni en Tarbes pour défendre le libre accès de de ce qui est montañeros au Bout de Midi de Bigorre. Les responsables de la gare touristique et scientifique installée dans le dessus, profitant de son reinauguración fait deux étés avaient interdit l'accès de de ce qui est montañeros au sommet. Le 10 septembre 2000 le groupe réunissait à 400 ventilateurs dans le dessus pour revendiquer l'accès libre au bout et aux terrasses du complexe. La pression est parvenue à réduire l'interdiction et arrive la proposition d'un tarif obligatoire de 100 francs (15 EURO) pour atteindre le dessus, y compris la visite de du musée et de ce qui est teleférico de baisse, même s'on ne faisait pas usage de ces services. De cette manière, le Pic de Midi se transformait la seule montagne de l'Europe dans laquelle on devait payer un péage pour la visiter. Le début de la saison de l'été passé a assoupli les positions des gestionnaires des installations en permettant le pas à ce qui est montañeros jusqu'à une des terrasses secondaires, ainsi que la terrasse principale dans des heures de plus petit afflux de visiteurs. À partir de novembre, faible saison, il est possible d'accéder à toute heure à la terrasse principale depuis où on considère un impressionnant panoramique pyrénéenne. Malgré ces avances, le Pic Collectif du Midi rappelle qu'ils restent à résoudre quelques affaires qui continuent à rendre de cette montagne source de discussion entre montañeros et d'administration.