Après avoir interrogé le Préfet le 7 septembre dernier, Jacques Béhague, Conseiller Général du canton de Luz, reçoit une réponse polie et courtoise mais pas vraiment de solution.
Il apparait que le protocole ours est une usine à gaz administrative dont la seule qualité soit qu’il rende l’effarouchement impossible en laissant la porte ouverte aux associations écologistes pour palabrer, métier qu’ils affectionnent particulièrement.
S’il parle de forte augmentation des attaques et de dérogations pour l’effarouchement, il ne parle pas de ses obligations qui sont notamment:
A défaut de trouver des solutions très rapides, les éleveurs pourraient bien lui imposer l’article L427-9 du Code de l’Environnementdonnant le droit de tuer avec une exception d’illégalité en matière de classement de l’ours et… du loup!
La prochaine bataille pourrait se situer à la fois sur le terrain et… sur le tapis vert à défaut d’aller au tribunal. Et ceci sans les écologistes qui sont très largement discrédités du fait de l’accumulation de mensonges.