Lorsque l'on veut enterrer un problème, on crée une commission. Lorsque l'on manque d'arguments, on fait signer une pétition. La forme moderne et électronique de cette dernière est d'engager une "Cyberaction" consistant à envoyer le plus possible de lettres à un ou des destinataires afin de faire pression sur l'interlocuteur.
Il s'agit là d'une forme avancée de terrorisme intellectuel auxquels sont habituées certaines associations écologistes. Nous suivrons donc avec intérêt et amusement ces actions terroristes sans grande incidence sur l'avenir de nos territoires. Les vrais problèmes des Pyrénées se situent à un autre niveau que ces gamineries à la condition, toute fois, que celles-ci ne revêtent pas un caractère nuisible à l'égard des personnes et des actions de développement durables menées dans les vallées pyrénéennes.
Une cyber action est tout aussi bidon qu'un sondage amateur ou une pétition électronique. Tous les excès sont possibles tel que des envois multiples par une seule personne sous des
noms divers ou l'envoi de lettres modifiées sous la forme de plaisanterie tel que ci-contre.
Aucun crédit ne peut être porté à l'actif de tells actions qui n'existent que pour donner une impression d'exister à des militants qui ne réfléchissent pas beaucoup. Mais ci ce
genre d'actions amusent les dirigeants d'associations qui ne brillent pas beaucoup par leur réflexion de fond, pourquoi pas?
D'autres s'en amusent.