Comme à leur habitude les écologistes vont à l’encontre des humains et leurs activités traditionnelles reconnues pour ce qu’elles apportent aux paysages et à la biodiversité. Ils poursuivent des objectifs très différents des éleveurs et de la véritable volonté populaire. Tout chez eux est basé sur l’illusion, le mensonge et la manipulation. A cours d’arguments, les voilà qui vont en Cassation, alors qu’ils savent bien que le jugement éventuel arrivera trop tard et bien après la fin des 6 mois d’autorisation de prélèvement de 6 loups.
En fait les écologistes ont un objectif idéologique qui n’a rien d’écologiste. C’est faire de ces territoires des espaces sauvages sans humains qui seraient limités à des espaces dit ludiques réservés au business du tourisme de masse.
Cette idéologie, à laquelle adhèrent des esprits faibles, sert les intérêts d’entreprises financières qui exploitent la situation pour créer et développer des marchés financiers autour de l’écologie qui sont le marché du CO2 et des compensations écologiques. En fait le marché des droits de polluer pour les grandes entreprises.
Toutes ces manipulations se font évidemment sur le dos des populations humaines autochtones que ce soit en Afrique, Amérique du Sud, Asie du Sud-Est ou les massifs montagneux de France.
En poursuivant en cassation, l’objectif n’est pas de casser l’arrêté préfectoral qui sera, de toute manière, devenu caduque, mais d’épuiser tous les recours nationaux pour porter l’affaire au niveau européen. D’où l’urgence de voir la législation européenne évoluer.
Il faut noter que le nombre réel de loups abattus au cours des 10 dernières années est bien inférieur au nombre autorisé. Il est regrettable qu'il n'existe pas de reports d'une période sur l'autre pour que l'action gouvernementale est une véritable sinification.
Huit associations de défense des animaux et de l'environnement veulent faire suspendre un arrêté préfectoral autorisant l' abattage de six loups en Savoie et vont pour ce faire se pourvoir en cassation, annoncent-ils ce jeudi.
Ce mercredi, le tribunal administratif de Grenoble a refusé leur demande de suspendre cet arrêté. Le juge des référés a en effet estimé qu'"aucun des moyens" invoqués par les associations n'était "propre à créer un doute sérieux quant à la légalité de la décision". Le tribunal "a rejeté nos référés contre le tir de six loups en Savoie: le préfet peut, s'il le souhaite, poursuivre l'abattage de quatre loups après les deux déjà tués le week-end dernier. Nous ne laisserons pas ces abattages injustifiés se poursuivre sans réagir", justifient-elle dans un communiqué.
Cet arrêté, qui permet l'abattage de six loups sur une période de six mois, avait été pris à la suite de la séquestration par des éleveurs du président et du directeur du parc national de la Vanoise. Treize loups ont été tués depuis le début de l'été dans les Alpes françaises, dont trois en Savoie, sur un plafond maximum de 36 loups pouvant être abattus en 2015-2016 en France.
Source: BFM TV du 22 octobre 2015
On ne comprend pas très bien ce que vient faire le Twitte d'Audrey Garric, l'icône de l'écologie de salon du groupe Le Monde, plus militante que journaliste. Tous ces bien-pensants font appel aux sentiments et ont une vision totalement irréelle de la situation. Il est indispensable pour bien comprendre de voir la vidéo 'Les lourdes conséquences du retour du loup", dont nous savons aujourd'hui qu'il n'a pas été naturel mais qu'il est la conséquence d'introductions manifestement illégales.
Louis Dollo, le 24 octobre 2015
Un loup a été abattu mercredi dans les Hautes-Alpes, a annoncé ce vendredi la préfecture dans un communiqué, précisant que le corps de l'animal n'avait pas été retrouvé. Le canidé a été blessé par un chasseur qui participait à une battue au cerf. Le 7 octobre 2015, un tir a été réalisé sur un loup sur la commune de La Cluse.
La recherche au sang effectuée le jour même et le lendemain, bien qu'approfondie, n'a pas permis de retrouver l'animal qui a reçu a priori une balle au ventre», indique la préfecture.
«Au regard de ces éléments, l'animal a de fortes chances de ne pas survivre et est décompté du plafond de loups dont la destruction est autorisée pour la période 2015 - 2016», est-il ajouté.
Une version contestée par Jacques Chevallier, le président de la fédération de chasse des Hautes-Alpes, selon les informations du Dauphiné Libéré. Ce loup «peut être blessé et s’en remettre», il «ne doit pas être considéré comme mort» dans le décompte de l’État, estime le chasseur.
C'est le septième loup abattu en France depuis le 30 juin 2015, après deux loups tués dans les Alpes-de-Haute-Provence, deux dans les Alpes-Maritimes, un en Savoie et un autre dans les Hautes-Alpes. Le gouvernement a fixé à 36 le nombre de loups qui pourront être abattus en 2015-2016 dans le cadre de la protection des troupeaux, contre 24 auparavant.
Les attaques de loups ont fait 6430 victimes dans les troupeaux français du 1er janvier au 30 septembre 2015, soit 7% de moins que sur la même période de l'année précédente mais 33% de plus qu'en 2013. Le loup est une espèce protégée par la convention de Berne pour la conservation de la vie sauvage et du milieu naturel de l'Europe.
Source: Le Parisien du 9 octobre 2015