Suite à sa déclaration appelant à tuer le loup, José Bové aura trouvé plus de critiques de la part de son camp que d’approbation. Plusieurs allant jusqu’à déposer ou envisager de déposer plainte pour incitation à la destruction d’une espèce protégée.
Un seul soutien, celui de Jean-Louis Chauzy, Président du Conseil économique, social et environnemental régional de Midi-Pyrénées (CESER) n’est pas étonnant. Cet élu socio-professionnel a toujours été clair dans ses positions par rapport aux importations d’ours dans les Pyrénées. Il est contre. Il a même un de ceux qui ont fait la démarche auprès du Président Sarkozy en mai 2011 pour éviter l’arrivée de 2 femelles en Béarn. Il est donc parfaitement dans sa logique parfaitement sincère et ancienne.
José Bové a reçu hier le soutien d'une personnalité du monde socio-économique de Midi-Pyrénées et ancien compagnon de lutte sur le Larzac, Jean-Louis Chauzy, dans sa querelle avec les défenseurs des animaux sauvages au sujet du loup. "Dans ce débat invraisemblable, si l'ont doit choisir entre le pastoralisme et le prédateur, il faut choisir le pastoralisme", a dit le président du Conseil économique, social et environnemental (Ceser) de Midi-Pyrénées.
"Ce sont les hommes et les bergers qui permettent à la montagne d'être vivante, habitée et entretenue" et "José Bové a eu le courage de dire tout haut ce que pensent tous les paysans", mais aussi de nombreux élus qui, eux, "sont courageusement restés dans le bois". "Ce qui est vrai dans le sud du Massif central l'est aussi dans les Pyrénées: ce ne sont ni les ours, ni les loups qu'il faut réintroduire mais les bergers", a dit Jean-Louis Chauzy, originaire de l'Aveyron.
José Bové s'est attiré les foudres des défenseurs de la faune sauvage en déclarant que pour les bergers qui sont confrontés aux attaques de troupeaux par les loups dans les Alpes et risqueraient de l'être dans le Massif central, "la meilleure façon de faire, c'est de prendre le fusil et de tirer".
Source: L'Indépendant du 9 août 2012
Le président du Conseil Economique et Social de Midi-Pyrénées soutient José Bové sur la question du loup. Jean-Louis Chauzy, également ancien compagnon de lutte de José Bové sur le Larzac, estime que «si on doit choisir entre le pastoralisme et le prédateur, il faut choisir le pastoralisme".
Pour lui, "ce sont les hommes et les bergers qui permettent à la montagne d'être vivante, et "José Bové a eu le courage de dire tout haut ce que pensent tous les paysans", mais aussi «de nombreux élus courageusement restés dans le bois".
José Bové s'est attiré les foudres des défenseurs de la faune sauvage en déclarant que pour les bergers confrontés aux attaques de troupeaux par les loups, "la meilleure façon de faire était de prendre le fusil et de tirer".
Source: Radio Totem du 9 août 2012
Protection des Loups. Un bon loup est un loup mort: c’est en substance ce qu’a déclaré le 17 juillet l’eurodéputé écologiste José Bové sur les ondes de radio Totem.
"Pour moi, les choses sont claires: si le loup risque d'attaquer un troupeau, la meilleure façon de faire, c'est de prendre le fusil et de tirer". Interrogé sur les attaques de loup auxquelles sont confrontés les éleveurs de Lozere, le député d’Europe Ecologie -les Verts au parlement européen a déclenché la colère des associations de protection de la nature, en se prononçant pour l’abattage à vue du prédateur. Le loup est considéré comme une espèce protégé en France.
Dans sa querelle avec les défenseurs du loup, José Bové a reçu mercredi le soutien de Jean-Louis Chauzy le président du Conseil économique, social et environnemental (Ceser) de Midi-Pyrénées.
«José Bové a dit brutalement ce que pensent tous les paysans. C’est courageux", a dit à Libé Toulouse cet ami de longue date de José Bové, avec qui il a participé au combat contre l'extension du camp militaire sur le causse du Larzac au début des années 70.
«Dans la biodiversité il y aussi les hommes, ajoute Jean Louis Chauzy Le maintien du pastoralisme en montagne passe avant tout». Dans un style direct qui n’a rien à envier à celui de son ami, il fustige au passage «les écolos de terrasse de café de qui José Bové n’a pas à recevoir de leçons».
L’association pour la protection des animaux sauvages (Aspas) a pour sa part déposé plainte au tribunal de Mende (Lozère) contre le député européen, pour "incitation à la destruction d'une espèce protégée".
Auteur: J-M.E
Source: Libé Toulouse du 8 août 2012
José Bové a reçu mercredi le soutien d'une personnalité du monde socio-économique de Midi-Pyrénées et ancien compagnon de lutte sur le Larzac, Jean-Louis Chauzy, dans sa querelle avec les défenseurs des animaux sauvages au sujet du loup. «Dans ce débat invraisemblable, si l'ont doit choisir entre le pastoralisme et le prédateur, il faut choisir le pastoralisme», a dit à l'AFP Jean-Louis Chauzy, président du Conseil économique, social et environnemental (Ceser) de Midi-Pyrénées. «Ce sont les hommes et les bergers qui permettent à la montagne d'être vivante, habitée et entretenue» et «José Bové a eu le courage de dire tout haut ce que pensent tous les paysans», mais aussi de nombreux élus qui, eux, «sont courageusement restés dans le bois», a ironisé Jean-Louis Chauzy.
«Ce qui est vrai dans le sud du Massif central l'est aussi dans les Pyrénées: ce ne sont ni les ours, ni les loups qu'il faut réintroduire mais les bergers», a dit Jean-Louis Chauzy, originaire de l'Aveyron, où José Bové s'est installé et où les deux hommes ont participé au combat contre l'extension du camp militaire sur le causse du Larzac au début des années 1970. José Bové s'est attiré les foudres des défenseurs de la faune sauvage en déclarant que pour les bergers qui sont confrontés aux attaques de troupeaux par les loups dans les Alpes et risqueraient de l'être dans le Massif central, «la meilleure façon de faire, c'est de prendre le fusil et de tirer». Les défenseurs du loup soulignent que le loup est une espèce protégée.
Source: AFP du 8 août 2012
José Bové a reçu mercredi le soutien d'une personnalité du monde socio-économique de Midi-Pyrénées et ancien compagnon de lutte sur le Larzac, Jean-Louis Chauzy, dans sa querelle avec les défenseurs des animaux sauvages au sujet du loup. «Dans ce débat invraisemblable, si l'ont doit choisir entre le pastoralisme et le prédateur, il faut choisir le pastoralisme», a dit à l'AFP Jean-Louis Chauzy, président du Conseil économique, social et environnemental (Ceser) de Midi-Pyrénées. «Ce sont les hommes et les bergers qui permettent à la montagne d'être vivante, habitée et entretenue» et «José Bové a eu le courage de dire tout haut ce que pensent tous les paysans», mais aussi de nombreux élus qui, eux, «sont courageusement restés dans le bois», a ironisé Jean-Louis Chauzy.
«Ce qui est vrai dans le sud du Massif central l'est aussi dans les Pyrénées: ce ne sont ni les ours, ni les loups qu'il faut réintroduire mais les bergers», a dit Jean-Louis Chauzy, originaire de l'Aveyron, où José Bové s'est installé et où les deux hommes ont participé au combat contre l'extension du camp militaire sur le causse du Larzac au début des années 1970. José Bové s'est attiré les foudres des défenseurs de la faune sauvage en déclarant que pour les bergers qui sont confrontés aux attaques de troupeaux par les loups dans les Alpes et risqueraient de l'être dans le Massif central, «la meilleure façon de faire, c'est de prendre le fusil et de tirer». Les défenseurs du loup soulignent que le loup est une espèce protégée.
Source: AFP du 8 août 2012