Un cadavre de louve a été trouvé à la sortie du village d’Abriès dans les Hautes-Alpes le 12 mai 2014. Il a été convoyé au Laboratoire Départemental Vétérinaire des Hautes-Alpes pour autopsie. L’hypothèse de la mort semble être liée à un choc avec un véhicule au cours de la nuit. - Source: Ministère de l'Ecologie du 12 mai 2014
Le cadavre d'un loup a été découvert au bord d'une route dans le parc naturel régional du Queyras (Hautes-Alpes), probablement victime d'une collision avec un véhicule, a annoncé vendredi la préfecture.
Trouvé lundi sur la commune d'Abriès, le canidé est une jeune louve, d'une vingtaine de kilos, née dans le courant de l'année 2013.
L'autopsie réalisée cette semaine révèle "un choc de plein fouet, de nombreux traumatismes et fractures" et conclut "à une mort par collision avec un véhicule". Des examens complémentaires, notamment toxicologiques, sont en cours au laboratoire départemental vétérinaire.
En décembre 2013, un loup de 23 kilos avait été trouvé mort dans la commune voisine d'Arvieux, toujours dans le Queyras. Les premières constations avaient également conclu à la mort par collision. Mais la préfecture a annoncé mardi que l'animal avait été empoisonné. La substance trouvée dans l'estomac de la bête est un produit somnifère et toxique, du chloralose, anciennement utilisé comme appât dans la lutte contre les taupes ou les rongeurs et interdit en France depuis 1997.
Conformément au Plan National Loup, le canidé a été décompté du plafond de 24 loups pouvant être abattus pour la période 2013-2014. A ce jour, dix loups ont été décomptés, dont trois par acte de braconnage dans les Hautes-Alpes, les Alpes-Maritimes et la Marne.
CAP Loup, un collectif d'associations pour la protection du loup, avait annoncé son intention de déposer plainte contre X.
Source: AFP du 16 mai 2014
Deux loups sont morts en quelques jours, l'un dans les Hautes-Alpes, l'autre en Savoie, ce dernier ayant été abattu lors d'un «tir de défense».
Le cadavre d'un loup a ainsi été découvert au bord d'une route dans le parc naturel régional du Queyras (Hautes-Alpes), probablement victime d'une collision avec un véhicule, a annoncé vendredi la préfecture
Trouvé lundi sur la commune d'Abriès, le canidé est une jeune louve, d'une vingtaine de kilos, née dans le courant de l'année 2013. L'autopsie réalisée cette semaine révèle «un choc de plein fouet, de nombreux traumatismes et fractures» et conclut «à une mort par collision avec un véhicule». Des examens complémentaires, notamment toxicologiques, sont en cours au laboratoire départemental vétérinaire.
En décembre 2013, un loup de 23 kilos avait été trouvé mort dans la commune voisine d'Arvieux, toujours dans le Queyras. Les premières constations avaient également conclu à la mort par collision. Mais la préfecture a annoncé mardi que l'animal avait été empoisonné. La substance trouvée dans l'estomac de la bête est un produit somnifère et toxique, du chloralose, anciennement utilisé comme appât dans la lutte contre les taupes ou les rongeurs et interdit en France depuis 1997.
Conformément au Plan national Loup, le canidé a été décompté du plafond de 24 loups pouvant être abattus pour la période 2013-2014. A ce jour, dix loups ont été décomptés, dont trois par acte de braconnage dans les Hautes-Alpes, les Alpes-Maritimes et la Marne. CAP Loup, un collectif d'associations pour la protection du loup, avait annoncé son intention de déposer plainte contre X.
Jeudi, en Savoie cette fois, la préfecture annonçait dans un communiqué, qu'un loup mâle adulte avait été abattu dans la nuit du 14 au 15 mai dans le cadre d'un tir de défense. «Ce tir a été effectué sur la commune de Saint-André en Haute-Maurienne, conformément à l'arrêté préfectoral autorisant un éleveur à défendre son troupeau contre la prédation du loup», note la préfecture.
«Des attaques répétées avaient été constatées sur cette commune. L'Office national de la chasse et de la faune sauvage a recueilli le cadavre de l'animal et l'a transmis au laboratoire départemental d'analyses vétérinaires de la Savoie», est-il ajouté. Une autopsie doit être pratiquée afin d'effectuer des prélèvements et un relevé des mensurations de l'animal.
Source: LeParisien.fr du 16 mai 2014
Le cadavre d'un loup, espèce protégée par la Convention de Berne, a été découvert le lundi 12 mai, en bordure de la RD 947, commune d’Abriès au lieu-dit «les Gourgeasses» dans le Parc Naturel Régional (PNR) du Queyras (Hautes-Alpes), a-t-on appris ce vendredi de la préfecture.
Le canidé est une jeune louve, d’une vingtaine de kilos, née dans le courant de l’année 2013. L’autopsie réalisée ce mercredi 14 mai, révèle «un choc de plein fouet, de nombreux traumatismes et fractures» et conclue «à une mort par collision avec un véhicule». Des examens complémentaires, notamment toxicologiques, sont en cours au laboratoire départemental vétérinaire.
En décembre 2013, un loup de 23 kilos avait été retrouvé mort sur la commune d'Arvieux dans le Parc Naturel Régional du Queyras. Les premières constations avaient également conclu que le canidé était décédé après une collision. La Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) Rhône-Alpes a annoncé ce mardi que le loup avait été empoisonné. La substance retrouvée dans l'estomac de l'animal est un produit somnifère et toxique, du chloralose, anciennement utilisé comme appât dans la lutte contre les taupes ou les rongeurs et interdit en France depuis 1997. Un élément qui pourrait expliquer le manque de vigilance au moment de la collision.
Conformément au Plan National Loup, le canidé mort à Arvieux a été décompté du plafond de 24 loups pouvant être abattus pour la période 2013-2014. A ce jour, dix loups ont été décomptés, dont trois par acte de braconnage dans les Hautes-Alpes, les Alpes-Maritimes et la Marne. CAP Loup, un collectif d'associations pour la protection du loup, avait annoncé son intention de déposer plainte contre X.
Source: Alpes 1 du 16 mai 2014