A voir l’obstination des écologistes à protéger le loup gris, il fallait bien imaginer qu’il y ait une justification économique même si cela devait déplaire aux végétariens, végétaliens et véganistes. Si nous recherchons dans le passé, les sociétés anciennes y trouvaient certainement des qualités pharmaceutiques et gastronomiques partout en France. Les Pyrénées ne devaient pas en reste sur le sujet... par temps de disette.
Dans "Le Livre des propriétés des choses" de Barthélemy l’Anglais écrit
cers 1240 et traduit du latin par Jean Corbechon en 1372, nous pouvons lire: "Les bêtes ont été créées pour servir à l’homme, non seulement en matière de nourriture, mais aussi
pour lui servir de médicament, comme l’ont dit Aristote et Jean Damascène. (…) En effet, dans le corps de la bête, il n’est rien qui, de manière évidente ou cachée, ne renferme
quelque médicament. Car le cuir et le poil, les cornes et les ongles, la chair et le sang, et même le fumier des bêtes, possèdent en eux de grandes vertus médicinales."
Le loup gris comme les cornes de rhinocéros ou d’éléphants aujourd’hui ne devait pas échapper aux produits de guérison…. Mais les croyances ont évolué.
En savoir plus sur les croyances populaires et les légendes
Si le loup était un possible médicament, rien ne s’oppose à ce qu’il soit mangeable. Ce qui ne signifie pas qu’il soit adapté à notre goût du 21ème siècle.
Même si cela choque notre sensibilité occidentale, le chien fait partie de la gastronomie chinoise depuis fort longtemps. L’appréciation des goûts différents selon les pays.
Pour un Sherpa du Népal, le lapin est un animal de compagnie et il est choquant de la manger… Au Pérou de cochon d’Inde est un repas de fête particulièrement raffiné et meilleurs
que le lapin.
Dans les Pyrénées, au Canada et en Finlande, nous trouvons des recettes d’ours au grand scandale des
écologistes dont les références culturelles sont quelque peu limitées pour des raisons idéologiques sectaires. Dans ces conditions, pourquoi le loup ne serait-il pas comestible?
Rien ne s’y oppose en dehors de quelques maladies possibles dans le milieu sauvage. Mais il peut parfaitement être un gibier.
En cherchant bien dans les vieux ouvrages de recettes de cuisine, nous pouvons sabs doute y faire quelques découvertes. Ainsi, la Provence et la Côte d’Azur qui regorge de loups,
bien au-delà de ce qui peut être officiellement annoncé (1), pourrait y voir un développement économique durable se manifester.
(1) En avril 2014, le chiffre officiel est de 300 à 350 loups. En fin d'année nous devrions atteindre les 400 et sans doute beaucoup plus mais ce n'est pas officiel.
Bon appétit!
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