Qu'un animal sauvage arrive dans un milieu urbain et c'est la panique. Il faut au mieux l'observer, le plus souvent le capturer et au pire le tuer car il peut être dangereux pour la population. C'est le cas des sangliers, de l'ours lorsqu'il s'approche de Toulouse mais c'est aussi le cas lorsque des chèvres reviennent à l'état sauvage ou des vautours fauves qui inquiètent lorsqu'ils ne sont pas là où "normalement", ils devraient être selon certains penseurs.
"Un vautour de 2,50 m recherché à Cherbourg.
(...) Compte tenu du comportement imprévisible d'un oiseau de proie de cette taille, les sapeurs-pompiers prennent très au sérieux leur "traque", même si, pour le moment, aucun zoo
n'a indiqué avoir perdu l'un de ses volatiles.
Hier les chasseurs ont été associés aux recherches qui n'ont encore rien donné."
Sur une liste ornithologique écrit avec humour: "Un vautour rôde en Normandie, rentrez les chats, les chiens, les enfants et les vieux."
Personnellement, je crois rêver en voyant ce qui se passe en Normandie pour un pauvre vautour d'une banalité déconcertante.
Si dans les Pyrénées nous devions faire la même chose... il n'y aurait même plus de vacanciers à se balader en montagne.
Que diraient-ils s'ils avaient des ours dans leurs campagnes et villages?
Quoique nous avons bien vu une battue pour un sanglier qui s'était introduit dans un jardin public d'une ville de l'Ile de France.
De la Folie!
Et parmi eux je parie qu'il y a des gens bien pensants qui vont venir donner des leçons de protection de notre faune sauvage dans les Pyrénées!