Depuis longtemps nous pensions que, comme en France, des élevages de loups hybrides existaient en Espagne pour alimenter les Pyrénées de loups prétendument de souche italienne et une sorte de passage entre les Cantabriques et les Pyrénées afin d'assurer une liaison avec des loups qui n'ont rien d'ibériques et qui sont, en, fait des chiens bâtards.
Ces organisations disposent de gros moyens allant jusqu'à permettre l'héliportage des loups sur les lieux de lâcher.
Selon des sources policières, les personnes arrêtées avaient quatre paires permanentes de loups de l'espèce ibérique (Canis lupus signatus) qui mettent bas chaque année jusqu'à vingt chiots qui sont relâchés dans la nature une fois qu'ils ont atteint les adultes. Les détenus se défendent en disant que ce n'est pas une simple ferme pour l'élevage des loups mais un centre d'élevage non officiel pour le renforcement des populations de loups ibériques (Canis lupus).
Apparemment les informations se sont précipitées pour intercepter une conversation au sujet de l'expédition imminente d'un jeu de loups, suspecté plus tard confirmé en trouvant plusieurs cages préparées pour le transport sur lesquelles nous pouvions lire les destinations: Sierra Morena, Pyrénées ou Madrid.
En outre, dans la ferme, a également été trouvé de nombreuses boîtes en bois utilisées pour transporter des serpents, spécialement adaptées pour la libération d'hélicoptères, bien que ces dernières années, ils utilisaient des drones à cet effet. En outre, un ordinateur et de nombreuses informations concernant d'autres groupes spécialisés dans la libération des animaux ont également été saisis, comme le résident de la ville d'Astudillo à Palencia, dédié exclusivement à la libération de campagnols dans les régions céréalières.
Les voisins de la vallée ne reconnaissent pas la double vie des personnes arrêtées. "Oui, ce sont des gens assez bizarres, un jour on pouvait les voir à midi à compter des grenouilles et une autre journée à courir derrière un papillon, on ne va pas en profiter, mais ensuite ils ont semblé normaux quand ils ont emmené les enfants au parc vu ici de pintxo pot ", nous raconte Patxi, le propriétaire du bar La Kaparra ayalesa.
“Esos son echados”. Esto es lo que se venía diciendo desde hace muchos años de los lobos que campan hoy día por nuestras montañas ante el extraño comportamiento y la aparente mansedumbre de algunos ejemplares. Sospecha que se ha visto confirmada para sorpresa de incrédulos ecologistas tras conocerse hoy la noticia de la detención por agentes del Seprona de seis individuos (G.A., E.A., M.C., X.I. , J.E. y P.L.) en una granja próxima a Orduña en la que criaban lobos para su posterior puesta en libertad allí donde fuese necesario.
Los miembros del Seprona consiguieron esta imagen mediante la técnica del digiscoping tras varios días ocultos en un lugar próximo a la granja. La foto demuestra la docilidad de los lobos criados
Según fuentes policiales los arrestados contaban con cuatro parejas permanentes de lobos de la especie ibérica (Canis lupus signatus) que llegaban a criar anualmente hasta una veintena de cachorros a los que liberaban en el medio natural una vez que llegaban a adultos. Los detenidos se defienden diciendo que no es una simple granja para la cría de lobos sino un centro extraoficial de reproducción para el reforzamiento de las poblaciones de lobo ibérico (Canis lupus).
Al parecer las detecciones se precipitaron al interceptar una conversación sobre el envío inminente de una partida de lobos, sospecha posteriormente confirmada al hallar varios jaulones preparados para realizar el transporte y en los que se podían leer los lugares de destino: Sierra Morena, Pirineos o Madrid.
Además en la granja también se hallaron numerosas cajas de madera usadas para transportar víboras, adaptadas especialmente para la suelta desde helicóptero, aunque en los últimos años se estaban utilizando drones para este fin. Asimismo, también se ha incautado un ordenador y numerosa información referida a otros grupos especializados en la suelta de animales como el residente en la localidad palentina de Astudillo, dedicada exclusivamente a la suelta de topillos en la estepa cerealista.
Los vecinos del valle no dan crédito a la doble vida que llevaban los arrestados. “Sí que son gente bastante rara, un día les podías ver a las doce de la noche contando ranas y otro día corriendo detrás de una mariposa, vamos nada de provecho, pero luego parecían normales cuando llevaban los hijos al parque, incluso, les he visto aquí de pintxo pote”, nos cuenta Patxi, el dueño del bar La Kaparra ayalesa.
Source: naturayala du 28 décembre 2016