Depuis des dizaines d’années nous sommes confrontés à l’existence et au développement d’emplois liés à l’environnement et l'écologie dits "Emplois Verts". Des politiques, fonctionnaires et associations bien-pensants, de tendance écologiste, nous rabâchent sans cesse que l’écologie est créatrice d’emplois. Le problème est que ceci n’est qu’un discours purement idéologique et mensonger car la réalité est très différente.
Il s’agit le plus souvent, pour ne pas dire toujours, d’emplois non productifs totalement ou partiellement subventionnés par des fonds publics soit directement soit indirectement. Tous les emplois productifs sont dépendant de financements publics. Ils n'existent qu'en fonction de décisions politiques pouvant changer d'un moment à l'autre. Strictement rien de durable et de fiable. Il s'agit aussi d'emplois de circonstance dans des collectivités locales ou territoriales.
De grandes entreprises profitent d’ailleurs largement de cette vague "verte" pour améliorer leur quotidien. Pourquoi leur en vouloir lorsque des ONG environnementalistes sont de véritables trusts financiers qui n’apportent que des slogans mais jamais de solutions concrètes tout en captant des subventions ne servant à rien.
Au cours du temps, nous allons essayer de récapituler toutes ces dérives qui coûtent cher à notre société sans jamais rien lui apporter de concret en nous axant en priorité sur les Pyrénées ou les sujets liés à la montagne pris dans un ensemble global de lieu et de forme d’activités et l’escalade en tant que pratique sportive.