Le mouvement écologiste, au travers de ces associations diverses et multiples, a tendance à se positionner en victime alors qu'elles sont le plus souvent à l'origine d'un
comportement agressif et conflictuel à l'égard de ceux qui ne partagent pas leurs idées. Les associations environnementalistes utilisent parfois des stratèges aussi peu
honorables que courageux en laissant s'exprimer des individus isolés ou plus ou moins virtuels à travers de pseudos anonymes sur des forums et groupes de dialogue du Web des
inepties, injures, mensonges et propos souvent
diffamatoires. Méthodes tout a fait dignent d'une certaine forme de
terrorisme intellectuel.
Et puis il y a le comportement, le financement, l'idéologie diffusés par plusieurs associations notamment le WWF que ce soit en France à travers le temps ou dans le monde.
A partir de ces pages et d'exemples précis, nous tenterons de dénoncer ces manoeuvres d'une honnêteté et d'une morale parfois discutable afin que le lecteur puisse apprécier de
lui-même la réalité de la situation.
L'écologie est elle une idéologie de la pensée unique?
L'écologie et les emplois bidons
Le cri d'alarme des jeunes face à l'environnement en 2005
Les associations écologistes satisfaites de leur pétition contre le massacre des oiseaux familiers - 2015
Tous les fichiers (environ 1250) en lien avec cette page ont été effacés de mon site, à priori, le 17 février 2015 dans l’après-midi. Ils ont été "rechargés" sur le serveur le
soir même. Qui l’a fait? Nous ne disposons d’aucune preuve matérielle. Néanmoins, la date choisie n’est pas un hasard et nous sommes habitués du fait. Par le passé, des
techniciens situaient les cybercriminels dans un pays au nord de la France.
Certaines organisations cherchent à faire taire tous opposants à leur idéologie par
tous les moyens
y compris judiciaires. Qu’elles sachent que ce n’est pas demain que nous serons réduits au silence face à des comportements extrémistes. Qu’on se le dise!
Si vous trouvez des anomalies dans ces fichiers, merci de nous prévenir
Les associations, ONG et fondations de protection de l'environnement
Novembre 2009 - L'ours à Bruxelles devant le parlement et Conseil de l'Europe
Profitons du énième salon écolo, le bien nommé Vivez nature (1), pour lancer enfin un débat crucial et ö combien sous-estimé par les fous de verdure: l'amour peut-il survivre à l'écologie? Parce que c'est bien beau tout ce tintouin sur les vertus des toilettes sèches, le miracle des couches lavables, la joie du compost au fond du jardin, mais se les farcir sept jours sur sept, tout ça parce qu'on est dingue d'un écolo convaincu, ça friserait pas le tue-l'amour parfois?
"Bêcher".
Sophie, 30 ans, vit depuis cinq ans avec un vert pur et dur. Le genre à vouloir retaper sa baraque lui-même avec des produits tellement naturels qu'il te faut environ
trois ans pour faire ressembler la maison à quelque chose. Et si Sophie épouse la cause de son homme, elle avoue que le fait d'emménager dans une nouvelle maison avec
jardin lui a causé quelques soucis. "Quand j'étais enceinte, on devait faire des travaux et refaire les chambres. Mais lui n'arrêtait pas de planter, de bêcher dans le
jardin, sans vraiment se soucier du reste. Il regardait dehors, paniqué à l'idée de ne pas pouvoir planter ses arbres alors que le mois de plantation approchait. Moi, je
lui répondais qu'il y avait le bébé qui arrivait aussi, et que j'aimerais bien pouvoir dormir ailleurs que sur un matelas, par terre au milieu des cartons à un mois de
mon accouchement..."
Les soucis de travaux sont réglés, mais les détails du quotidien lui mènent parfois la vie dure. Sophie se pose donc régulièrement des questions aussi existentielles que "comment laver le four encrassé quand ton mec râle si tu utilises du Décapfour?" ou "comment lui faire prendre conscience que tu aimerais bien garder des toilettes normales quand lui ne jure que par les toilettes sèches?" Plus embêtant encore, son mari ne veut pas que la mère de ses enfants s'encrasse le corps avec des saloperies aussi délicieuses que les Big Mac ou les frites-fricandelle. Résultat, "quand j'étais enceinte, j'en étais réduite à me faire des Quick en cachette", explique la trentenaire.
"Ambiance".
Heureusement, la jeune maman reste admirative des idéaux de son jules, et surtout, elle a une confidente, Cécile, qui a de la bouteille en la matière. Après vingt
ans de vie commune avec un écolo pur jus, Cécile a des anecdotes à revendre qu'elle classe par thèmes écologiques. En tête de ses ennemis, la couche d'ozone, qui
l'a presque forcée à dire adieu à l'idée de se faire des parties bronzette à la plage en amoureux. "Etienne ne supporte pas de s'exposer en plein midi, parce que
c'est à ce moment que la couche d'ozone est la moins présente et qu'on se prend tous les radicaux libres. Alors faire la crêpe, j'ai presque oublié ce que c'était.
A la limite, si je le tanne, il vient, mais je me retrouve à côté d'un homme enrubanné dans des serviettes, des moufles et caché derrière son chapeau. Ca casse
l'ambiance."
Autre ennemi majeur de Cécile: l'empreinte écologique. Pour les nuls du rayon bio, on rappelle de quoi il s'agit. Grosso modo, dans toutes nos activités
quotidiennes, nous polluons. Plus tu pollues, plus ton empreinte écologique est grande. Parce qu'elle correspond à la surface de terre et d'écosystème qu'il
faudrait pour produire et assimiler tout ce qu'on pollue. Depuis qu'ils calculent la leur, Cécile et Etienne ne partent plus en vacances loin de chez eux. Vu que
la voiture, ça pollue et l'avion, on en parle pas. Conclusion, ça fait des années que Cécile rêve d'un voyage en Italie, mais qu'elle n'en a jamais vu le bout de
la botte, à cause de cette foutue empreinte. "Je suis complètement d'accord sur le principe, mais une fois de temps en temps, on pourrait quand même se faire un
petit plaisir." Les vacances semblent être la bête noire du couple écolo.
François, 30 ans, s'est carrément fait traîner par sa copine, pour une semaine à vélo avec un groupe de babs ultrabio.
"J'avoue que c'était sympa, sauf que si eux sont habitués à manger plein de verdure, moi mon corps n'était pas vraiment rodé. Résultat tous les jours, à la fin de
la journée, je piquais un sprint à vélo pour être le premier au gîte et pouvoir foncer aux toilettes... régler mes petits désordres intestinaux." Qu'on se rassure,
aucun de ces couples n'a encore été sacrifié sur l'autel de l'écologie. Parce que, tous le répètent en choeur, pour vivre avec un écolo, il faut soi-même adhérer
un minimum à la cause.
"Dentifrice bio".
Amélie, 29 ans, a donc lâché l'affaire, son degré d'investissement n'ayant jamais dépassé le stade du tri sélectif. Il y a deux mois, elle a rencontré Paul. "Il me
plaisait bien. Mais la première soirée passée chez lui fut un désastre. D'abord il m'a cuisiné un croque-monsieur bio infâme, puis m'a fait les gros yeux parce que
je fumais. Je ne parle même pas du réveil, à 6 heures du mat, à cause de ses rideaux tellement bio que toute la lumière passait à travers. Je lui ai fait la
réflexion, en blaguant, et ça ne l'a même pas fait rire." Le lendemain, Amélie a donc pris ses cliques et ses claques. Sans même passer par la case salle de bains.
"Il m'a suffi de jeter un oeil sur sa pâte de dentifrice bio, pour me dire que vraiment, ça n'allait pas le faire."
(1) Jusqu'à lundi à la Cité des sciences et de l'industrie, à Paris.
Auteur: Chloé Andries
Source: Libération du vendredi 23 mai 2008
Même Aves-France, dans son dernier bulletin, reprend le dernier classement UICN: 6 espèces d'ours en danger, mais pas l'ours brun. Alors pourquoi s'obstiner à vouloir en introduire dans les Pyrénées?
Voir page 2 du billetin d'AVES-France.
Il est vrai que par ailleurs, AVES-France s'interroge. L'ours brun est-il encore sauvage?
A l'aube de l'hiver 2008-2009, les écologistes pro-ours ne surprennent plus, ils amusent. Après les doutes émis par Alain Reynes, directeur de l'ADET - Pays de l'ours sur la réalité de l'attaque de Hvala sur un chasseur en Val d'Aran et l'avis édifiant d'une commission de techniciens appelés pompeusement "experts", une brave militante ou du moins intervenante sur le forum public de l'ADET nous gratifie d'un propos étonnant.
C'est ainsi que le 25 novembre 2008 à 10 h 36, Joelle Salin écrit (1): "J'ai vu, dans les Asturies, en août dernier, la même scène. Les trois ours se gavaient de myrtilles. Les petits grimpaient aux arbres Nous les avons observés pendant plus d'une heure... A peu près les mêmes scènes en Slovénie ainsi qu'en Croatie. Comme il est dommage de devoir se rendre dans les autres pays européens pour les voir... " (extrait du forum sur lesquel tout opposant aux introductions d'ours est exclu)
Ainsi donc, pour cette brave personne, la justification d'importation d'ours de Slovénie serait d'éviter d'aller en voir à l'étranger. Les Pyrénées se réduisent pour elle à une sorte de grand zoo où le touriste vient admirer, gratuitement, des animaux laissés à l'état sauvage.
Vision réductrice, déformée et pitoyable d'une région de 450km de long dans laquelle, pour cette personne, il est sans doute anormale que vivent toute une population avec ses activités économiques et sociales. Il faut dire que depuis plus de 20 ans, elle a eu des précurseurs qui ont cherché à "déporter" une partie de la population pour laisser la place à l'ours.
Déporter? Oui, une habitude pour certaines dictatures.
Louis Dollo, le 28 novembre 2008
(1) - Le lien est mort. En décembre 2011, l'ADET a effacé la totalité de son forum éliminant ainsi toutes les preuves de nos propos.