Nous pouvons nous étonner que la DREAL fasse état «des propositions émises par les différents ateliers de travail du Groupe National Ours» dans l’élaboration de la «Stratégie Pyrénéenne de Valorisation de la Biodiversité» en ayant «pour principe général le partage des espaces pyrénéens entre les activités humaines et la présence de l’ours».
Le GNO n’a jamais fonctionné et ne peut donc, en aucune manière, être une référence pour des travaux jamais réalisés en dehors de l’imaginaire et des fantasmes de quelques-uns. La Ministre de l’écologie de l’écologie de l’époque avait tout ramené sur l’élaboration de la stratégie pyrénéenne de valorisation de la biodiversité sans qu’elle ait prise une décision qui, de toute manière, il ne lui appartenait pas de prendre.
Par ailleurs, la DREAL n’a pas qualité pour décider et ne peut en aucune manière prétendre, comme elle le fait ici, dire qu’il s’agit du «Volet Ours Brun de la Stratégie Pyrénéenne de Valorisation de la Biodiversité». Avant d’imaginer une quelconque discussion dans ce domaine, il faudra éclaircir la légitimité de la liste rouge de l’UICN dont l’élaboration apparait être plus une magouille qu’une réflexion scientifique.
Sur la base des propositions émises par les différents ateliers de travail du Groupe National Ours, le volet ours de la stratégie affiche pour principe général le partage des espaces pyrénéens entre les activités humaines et la présence de l’ours
Ces orientations s’articulent autour des principes suivants:
Source: DREAL Midi-Pyrénées